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Eva Medin le 109 OVNI Video art festival nice

Le 109 – Les anciens abattoirs de la ville de Nice

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La réhabilitation des anciens abattoirs frigorifiques de la Ville de Nice en friche culturelle pluridisciplinaire, entre dans une nouvelle phase. Intitulée Le 109, la friche développe une programmation artistique et accueille maintenant plusieurs structures : Le Forum d’Urbanisme et d’Architecture de la Ville de Nice, Le Hublot – espace de création numérique, des ateliers d’artistes, et l’Entrepont – collectif de spectacle vivant.

Dans le cadre du festival OVNI Dans la ville et en synergie avec le Forum MOVIMENTA, le 109 – les anciens abattoirs de la Ville de Nice – ouvre ses portes à EVA MEDIN du 29/11 au 4/12 2016. 

La grande halle du 109, anciens abattoirs de la ville de Nice, 89 route de Turin, 06300 NIce.

A découvrir :

  • Mercredi 30 novembre et jeudi 1er décembre de 14h à 19h
  • Nocturne vendredi 2 décembre de 20h à 0h00.
  • Samedi 3 décembre de 14h à 19h

 

Eva Medin

CRATCH + SMARS = INCONNU

CRATCH

Installation, 2015

Cliché de l’imaginaire lié à la conquête spatiale, entre cartoon, sculpture et décor, CRATCH est un paysage mental, un environnement immersif.

+ SMARS

Vidéo, Science-fiction expérimentale, 2015

Métaphore d’un système clos et automatisé, SMARS revisite le thème de la SF en transformant une crèche en une capsule spatiale.

= INCONNU

Installation in-situ au 109, 2016

A propos de l’artiste :

Naviguant entre vidéo, scénographie et installation, Eva MEDIN elle se nourrit des espaces où elle intervient. Rassemblant dans un geste global œuvres et scénographie, elle élabore des paysages mentaux, où les pièces assemblées, réactivées, se présentent comme autant d’embrayeurs narratifs. Avec une apparente légèreté elle aborde par détour les thèmes de la perte, de la désuétude, et de la nostalgie, dans des environnements souvent en suspend, entre monde de l’enfance et monde adulte.

Plasticienne et vidéaste, Eva Medin a été formée au Pavillon Bosio de Monaco et aux Arts Décoratifs de Paris. Elle développe un univers fictionnel empreint d’un regard décalé sur le réel. Au croisement entre les disciplines, elle élabore une écriture à la fois narrative et contemplative où le rapport à l’espace et l’expérience du spectateur ont une place prédominante. Dans une grammaire de cinéma et un vocabulaire du cliché, de la vignette ou du cartoon, elle met en jeu des observations et souvenirs tenant autant du personnel que de la mémoire collective, et revisite avec ironie des thèmes récurrents de la culture populaire.